Thomas , 30 ans, adjoint au responsable de la maintenance des attractions

Thomas a fait toute son alternance (6 ans !) dans la maintenance des attractions au Parc Astérix. Il en ressort grandit, puisqu’il est aujourd’hui permanent en tant que responsable adjoint. Un bel exemple d’évolution en interne.
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Thomas
« J’ai la chance de travailler sur une grande diversité d’installations. »
Thomas, 30 ans, adjoint au responsable de la maintenance des attractions

LE PARCOURS

Qu’est-ce qui t’a motivé à rejoindre le Parc ?

Après avoir obtenu un BEP en Maintenance des systèmes mécaniques automatisés, je me suis dirigé vers un Bac pro dans la même spécialité et vers un BTS en Maintenance industrielle. J’ai choisi de faire toute mon alternance au Parc Astérix pour me spécialiser sur la maintenance des attractions. Un domaine assez unique dans le secteur, qui suppose de suivre un protocole bien particulier sur une diversité d’installations (mécanique, hydraulique et pneumatique).

 

Quel est ton parcours au sein du Parc ?

J’ai démarré en 2006 au poste de technicien en maintenance des attractions. Et je suis aujourd’hui adjoint au responsable de la maintenance des attractions depuis deux ans et demi.

 

LE MÉTIER

À quoi ressemble une journée de maintenance au Parc ?

La maintenance tourne 24h/24 au Parc. A 14h arrive l’équipe du soir. C’est le moment où la fréquentation du Parc est à son comble et que les attractions tournent à plein régime. Notre travail, c’est de vérifier tous les points de contrôle des attractions. On travaille beaucoup au visuel et au son. S’il fait très chaud, on fait un tour dans les locaux techniques pour faire une série de vérifications. Et bien sûr, on dépanne les attractions qui en ont besoin et suivant un protocole rigoureux.

A 18h, le Parc ferme ses portes. C’est le moment de faire un contrôle préventif sur chaque attraction, en commençant par celles qui sont en extérieur, et ce, jusqu’à 22h.

A 22h, l’équipe de nuit arrive pour contrôler tous les trains coasters, qui sont très techniques. La procédure dure toute la nuit, jusqu’à 6h du matin.

A 6h, l’équipe du matin arrive. C’est le rush pour démarrer les attractions avant l’arrivée des visiteurs à 9h30. C’est le moment de contrôler toutes les pistes. Et à 10h, les techniciens opèrent un travail de fond, du préventif sur les embarcations à l’arrêt, des rounds techniques et du dépannage.

 

Qu’est-ce que vous motive à vous lever le matin ?

Travailler dans la maintenance, c’est s’assurer que les visiteurs s’amusent en toute sécurité. C’est une sacrée responsabilité ! On a la chance de travailler avec des logiciels perfectionnés, des automates dernier cri et les toutes les innovations récentes en matière de sécurité. On en apprend tous les jours et aucune journée ne se ressemble. Je crois que c’est ça qui me motive chaque jour. Et la maintenance est un domaine atypique. On apporte du sourire au client. Quand on fait redémarrer une attraction, les gens nous applaudissent !

 

LE PARC & LES COLLÈGUES

Comment trouves-tu l’ambiance de travail au Parc ?

Nous avons beau être organisés en équipes distinctes à la maintenance, nous sommes tous soudés, solidaires. Les équipes sont jeunes et bienveillantes, et les remontées d’information se font bien car il y a une bonne solidarité entre les gens. A manager, c’est plus facile !

 

As-tu le sentiment d’appartenir à une communauté ?

Oui, il y a un vrai esprit de famille au Parc Astérix. Tout le monde se tutoie ! Et les gens sont bienveillants. Tous ensemble, on participe à un spectacle ! On doit tous faire en sorte que les visiteurs profitent paisiblement de leur journée. Nous avons un rôle central : faire en sorte que le Parc fonctionne ! Ce n’est pas rien.

 

LES ATOUTS DU PARC

Que retiens-tu du Parc Astérix en tant qu’employeur ?

Le Parc est une bonne école. On peut y trouver sa voie, son métier. La preuve : beaucoup de saisonniers sont devenus permanents !

 

Que dirais-tu à un candidat qui souhaite nous rejoindre ?

S’il aime le travail en équipe, la bonne ambiance et le professionnalisme, et s’il a envie d’apprendre, il frappe à la bonne porte.